Nouveau statut - De plus en plus de jeunes souhaitent se lancer dans l’entrepreneuriat. Ceci est sans doute la conséquence positive du nouveau statut d’étudiant-entrepreneur, entré en vigueur en janvier dernier. Ce statut offre des conditions sociales et fiscales favorables.

 

Hautes Écoles - Plusieurs Hautes Écoles proposent dorénavant aux jeunes le statut académique d’étudiant-entrepreneur. Objectif : permettre aux plus audacieux d’être en mesure de concilier formation et création d’entreprise. Il va sans dire qu’en participant à un nombre important d‘activités durant leur parcours pédagogique, ces jeunes développent des aptitudes et compétences entrepreneuriales bien utiles.

 

Accompagnement personnalisé - Afin d’aider ces jeunes à concrétiser leurs projets, les Hautes Écoles ont en outre créé des « cellules entreprendre ». Pour passer de l’idée à la réalisation, des coachings individuels et collectifs, internes et externes, permettent aux étudiants de mieux définir leurs projets, de les structurer et, le cas échéant, de consolider leur motivation dans les moments de doute éventuels. Ces cellules offrent enfin une assistance particulièrement précieuse : établir des liens privilégiés avec des partenaires régionaux, par exemple sous la forme d’une coopération multidisciplinaire.

 

Accepter l’échec - Par cette démarche, les Hautes Écoles s’inscrivent aussi dans un changement de mentalité en mettant l’accent sur un point essentiel : celui de pouvoir accepter l’échec, si tel est le cas… car l’échec nous sert aussi de leçon !

 

Soutien public - Conscientes de la nécessité de soutenir les initiatives lancées par les Hautes Écoles, les Régions bruxelloise et wallonne ont décidé de soutenir financièrement certains projets mis sur pied par celles-ci. Voilà qui est de bon augure !